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Coronavirus, les particules fines montrées du doigt

Décidément, les particules fines sont de plus en plus montrées du doigt. En milieu urbain, le trafic routier, l’activité industrielle,  créent des taux élevés de particules fines. Ce qui est un facteur aggravant pour les maladies respiratoires. L’agglomérat « particule fine + virus » a contribué à la diffusion de la grippe aviaire, et de l’épidémie de rougeole qui a sévi en Chine en 2013-2014.( rtbf 21 mars 2020)

En ce moment, des épidémiologistes italiens étudient l’éventualité d’une corrélation entre pollution aux particules fines et transport du nouveau coronavirus dans l’air. La propagation du Covid19 a été plus fulgurante en Lombardie, zone industrielle polluée, qu’à Rome, ville où la pollution de l’air est moindre. Le croisement des données de pollution aux particules fines et de la propagation du Covid-19 est en cours.

Dans le Nord industriel de l’Italie, on constate une forte baisse de la pollution, notamment de la pollution aux particules fines. Le Monde, dimanche 22 et lundi 23 mars 2020. Souhaitons que cela contribue au ralentissement de l’épidémie.

A Fontenay, après le confinement, nous continuerons notre combat pour que le maire prenne l’arrêté de Zone à Faibles Emissions (ZFE) qui limite la pollution par les particules fines.

Chers amis, soyez prudents, soyez patients, respectez les consignes.Pensez à protéger votre santé et celles des autres.

Suzanne Bourdet, Michel Faye

 

 

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